Une oeuvre, une seule

Anvers est une ville qui a son lot de peintres, et pas des moindres, David Teniers,  Joos de Momper, Anton van Dyck et surtout Quentin Metsys, Jacob Jordaens et Pierre-Paul Rubens…

Le voyage était promis dense d’une alternance de cargos glissant sur l’Escaut et de toiles de maîtres disséminées dans les églises de la ville  à compléter  éventuellement, si l’envie n’était pas rassasiée, par une visite de la riche collection du Musée Royal des Beaux-Arts, KMVKA pour les intimes.

Moules frites

Madonna !

On dit la ville à la frontière des terres protestantes et catholiques…

Peau contre peau

Ta peau
Contre ma peau
Au long des jours
Au long des nuits
Ta peau
Contre ma peau
Au grand soleil
Ou à minuit

A la poursuite des cargos (2)

Pas de cargo à Anvers-ville donc…

Reste deux solutions : avaler de la Leffe jusqu’à ce que la lucidité s’efface, les sens se brouillent et le désir les matérialise devant les yeux ou se diriger vers le nord, en aval de la ville. Une soudaine mansuétude envers l’organisme et plus encore le sentiment que si près des navires ardemment convoités, il serait terrible de se résoudre à ces hallucinations alcoolisées, poussent à choisir la seconde option.

A la poursuite des cargos (1)

L’aiguille de la boussole intérieure indique invariablement le nord, aimantée par la concentration de géants de métal qui ont épousé les vagues salées des océans. Elle oscille, hésitante, Anvers-Rotterdam, Rotterdam-Anvers …

Anvers !