« Nous étions au bord de la mer. Quelqu’un avait voulu évoquer les rues d’Istanbul qui donnaient sur la mer. Peut-être la mer constituait-elle une rue tout à fait à part, vers laquelle coulaient des rues sans nombre, une rue susceptible de faire vivre tant de chansons pleines de nostalgie. »
Les notes de Selahattın Pınar ou celles de Leonard Cohen planent sur le Bosphore. Lire la suite